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Read Ebook: ABC: Petits Contes by Lema Tre Jules Job Illustrator

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Ebook has 255 lines and 9147 words, and 6 pages

"I'm not much of a hand at the brass instruments," I said. "Please ask me questions."

This seemed to please her. After some further inquiries she said simply: "I wrote to you because it seemed to me from your letter that you had a good heart. I need that perhaps more than detective skill. I live in a blaze of publicity. I am surrounded by flatterers. The pushing, thick-skinned sort of people force themselves close to me, and the kind that I like avoid me, I fear. I am not sure of whom I can trust. I am very sure that if I put my business in the hands of the regular people it would soon become a matter of common knowledge."

Her simplicity and sadness affected me deeply. I could do nothing but protest my honesty and my devotion.

"I am satisfied," she said at last. "Are you very busy at present?"

"Tolerably," I said with a busy air. It would never have done to let her think otherwise.

"I would like you to take my case," she said with an enchanting note of appeal, "but it would have to be on the condition that you attended to it yourself, solely. I would have to ask you to agree not to delegate any part of it to even the most trusted of your employees."

This was easy, since I didn't have any.

"You must, please, further agree not to take any steps without consulting me in advance, and you must not mind--perhaps I might call the whole thing off at any moment. But of course I would pay you."

I quickly agreed to the conditions.

"I have been robbed of a pearl necklace," she said with an air of infinite sadness.

I did not need to be told that there was more in this than the ordinary actress'-stolen-jewels case. Irma Hamerton didn't need that kind of advertising. She was morbidly anxious that there should be no advertising in this.

"It was a single strand of sixty-seven black pearls ranging in size from a currant down to a pea. They were perfectlencement, on eut beaucoup d'?gards pour ce noble ?tranger. Aussit?t que l'ibis d?ployait ses ailes, les pigeons roucoulaient:

<>

Les poules admiraient la courbe ?l?gante de son bec. Les canards, qui sont si bas sur pattes, regardaient avec envie les longues jambes de l'ibis, qui semblaient peintes au ripolin rose.

Flatt?, l'ibis marchait de long en large. Il leur parlait de sa patrie l'?gypte, du Nil, des autruches, des pyramides et des minarets du Caire.

D'abord on l'avait ?cout? avec respect; mais peu ? peu on trouva qu'il racontait toujours la m?me chose.

Le dindon disait avec col?re:

<>

La pintade se moquait de son nez d'ivrogne, et un caneton poussa l'impertinence jusqu'? lui demander combien les baguettes qui lui servaient de jambes lui avaient co?t? le centim?tre.

Alors le pauvre ibis rose se retira dans un coin. Et il se tenait tout raide sur une patte, r?vant de son pays, du Nil, des pyramides et des minarets.

JOUETS

Un petit gar?on de la ville, Robert, avait des jouets ? m?canique, tr?s chers, qu'il fallait toujours remonter, qui se cassaient tr?s souvent et qui ne l'amusaient pas du tout.

Un jour, il rencontra un petit gar?on de la campagne, Mathieu, ? qui ses parents ne donnaient pas de jouets, mais qui fabriquait lui-m?me des sifflets, des canons ou des pompes avec du sureau, des noyaux d'abricots et des pailles.

<>

Mathieu le lui apprit. Robert vendit ? une vieille marchande de bric-?-brac ses jouets m?caniques devenus inutiles, et, avec les sous qu'il en retira, il acheta des g?teaux, que les deux enfants mang?rent de grand app?tit.

KANGOUROU

Du temps o? les kangourous vivaient dans le paradis terrestre, leurs pattes de devant ?taient aussi longues que celles de derri?re.

Mais, ? cause de cette longueur de leurs pattes, les kangourous ?taient devenus extr?mement voleurs. Ils n'avaient qu'? ?tendre le bras pour attraper les branches et cueillir les plus beaux fruits, qu'ils enfouissaient ensuite dans la grande poche qu'ils portent sur le ventre.

Ainsi ils d?pouillaient les arbres du paradis.

Les autres b?tes, qui ne pouvaient pas en faire autant, se plaignirent au bon Dieu.

Le bon Dieu fit venir devant lui les kangourous et, pour qu'il leur f?t plus difficile de voler les fruits, il leur raccourcit les pattes de devant.

Depuis ce temps-l?, les kangourous ont ces moignons que vous voyez sur l'image, et la poche de leur ventre ne leur sert plus que pour y cacher leurs petits.

LOUP

Quand le loup eut mang? les six petits biquets, il se sentit le ventre si lourd, qu'il alla faire un somme derri?re le puits.

Il avait oubli? de manger le septi?me petit biquet, qui s'?tait cach? sous le lit. Aussi, quand la m?re ch?vre revint du march? avec un panier au bras, ce fut ce petit biquet qui lui apprit que le loup avait mang? ses six petits fr?res.

<> chevrotait la ch?vre en essuyant ses yeux avec un coin de son tablier.

Mais, retrouvant son courage, elle prit son dernier-n? par la main et se mit ? la recherche du loup. Elle ne fut pas longtemps ? le trouver qui dormait sur ses deux oreilles derri?re le puits et qui ronflait de toutes ses forces.

<>

Et, tirant de son panier un couteau de cuisine, d'un seul coup elle fend le ventre du loup dans toute sa longueur, et les six petits biquets sautent au cou de leur m?re. Car le loup les avait aval?s si goul?ment, qu'il n'avait pas pris le temps de les m?cher et qu'ils ?taient encore en vie.

La ch?vre et les biquets rirent et pleur?rent ensemble un instant; puis la m?re dit:

<>

Quand tout fut termin?, la m?re et les enfants all?rent se cacher, pour voir ce que ferait le loup.

Au bout d'un moment, il se r?veilla, se frotta les paupi?res, puis se t?ta le ventre.

<>

Et, se levant, il alla vers le puits. Dans son ventre, les six pierres faisaient un bruit ?trange.

<> dit le loup.

Et il se pencha pour boire.

Mais ce mouvement pr?cipita les pierres l'une sur l'autre dans l'estomac du loup, leur poids l'entra?na en avant, et le vieux brigand tomba la t?te en bas dans le fond du puits.

Alors la ch?vre et ses sept petits dans?rent autour du puits une ronde joyeuse.

MOINEAU

Dans un champ de millet, les moineaux venaient picorer les ?pis. Le chat du meunier les guettait depuis longtemps, sans r?ussir ? les attraper; car, aussit?t qu'il s'approchait, les oiseaux s'envolaient.

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